Ça s'est passé au Palais

Retour en images sur #VIVANTS !

Du 26 octobre au 15 décembre 2022, le Palais de la Porte Dorée a mis à l'honneur les arts performatifs avec la deuxième édition de VIVANTS !, sa saison d’automne de spectacles et concerts.

Affiche VIVANTS 2
Spectacle de danse Idiota

idiota - Marlène Monteiro Freitas

© Bea Borgers

En ouverture, le Palais de la Porte Dorée s’est associé au Festival d’Automne à Paris pour présenter Idiota, la dernière création de Marlene Monteiro Freitas.

Pour ce solo inspiré du mythe de Pandore, la chorégraphe cap-verdienne a choisi de mettre en résonance l’espace majestueux du Forum avec son univers artistique, habité de créatures hybrides, qui trouve ses racines dans les carnavals cap-verdiens de son enfance.

Le programme s'est poursuivi avec Habiter le seuil, un univers tout aussi fascinant : celui des fonds marins dans lequel la chorégraphe Marine Chesnais nous a proposé un voyage éminemment sensoriel et hypnotique à la rencontre des baleines à bosse.

Habiter le seuil - Marine Chesnais

Legende

Habiter le seuil

Credit

© Vincent Bruno

Habiter le seuil - Marine Chesnais

Habiter le seuil - Marine Chesnais

© Vincent Bruno

Puis, deux spectacles sont venus explorer l’histoire coloniale à laquelle le Palais de la Porte Dorée ne cesse de nous renvoyer et que les arts vivants peuvent contribuer à revisiter. Dans Les petites épouses des blancs / Histoires de mariages noirs, spectacle de théâtre documentaire prenant la forme d’une passionnante enquête, l'histoire coloniale est appréhendée à travers celle des enfants métis nés d’unions temporaires entre des colons et des femmes africaines, dont l’existence fut longtemps couverte de silence.

Public assis dans l'auditorium

Legende

Les petites épouses des blancs - Histoires de mariages noirs

Credit

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Les Petites épouses des blancs - Histoires de mariages noirs

Les Petites épouses des blancs - Histoires de mariages noirs

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Avec Rite de passage – Solo II, imaginé par Bintou Dembélé pour le danseur Michel « Meech » Onomo, la chorégraphe interroge la persistance de l’héritage colonial dans les corps.

Rite de passage - Solo II

Legende

Rite de passage - Solo II

Credit

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Rite de passage - Solo II

Rite de passage - Solo II

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

En décembre, place à la musique avec le blues mandingue de Pedro Kouyaté qui a choisi le Palais de la Porte Dorée pour sortir son nouvel album.

Pedro Kouyaté sur scène

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Pedro Kouyaté

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Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Péro Kouyaté sur scène

Pedro Kouyaté

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Puis, un concert en partenariat avec le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, un concert a été rendu en hommage aux musiciens jazz américains qui ont immigré à Paris dans les années 1950-60.

Musiciens jazz américains à Paris 1950-1960s

Legende

Musiciens jazz américains à Paris 1950-1960s

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Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Musiciens jazz américains à Paris 1950-1960s

Musiciens jazz américains à Paris 1950-1960s

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

Les migrations ont également été au cœur du travail d’Hakim Bah et de Diane Chavelet dont la bouleversante pièce À bout de sueur, tragédie contemporaine sur le mirage de l’exil, est venue clore la deuxième édition de VIVANTS !.

À bout de sueur

Legende

À bout de sueur

Credit

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée

À bout de sueur

À bout de sueur

Photo : Anne Volery © Palais de la Porte Dorée