Marseille, New York, deux villes chargées d’imaginaires qui ont inspiré peintres, photographes, cinéastes, auteurs. Deux villes ouvertes sur le monde, qui ont été et restent des portes d’entrée, en France et aux États-Unis, pour des immigrants en quête d’une vie meilleure. Mais ne sont-elles que des villes d’immigration ? La métaphore de la porte n’a-t-elle pas longtemps occulté une réalité plus discrète mais pour autant constitutive de leur identité : celles de villes de transit ?